Il s’agit d’une nouvelle instance créée par la loi pour la refondation de l’école de la République de juillet 2013. Il est présidée par Nathalie Mons, Professeure de sociologie à l’université de Cergy-Pontoise.
C’est parce qu’on débat démocratiquement sur l’école sur la base d’arguments étayées scientifiquement que l’école pourra progresser
Le CNESCO (atchoum !) regroupe deux députés, deux sénateurs, deux représentants du Conseil économique, social et environnemental et huit personnalités qualifiées (dans le respect de la parité femmes-hommes).
Il est chargé d’évaluer “en toute indépendance l’organisation et les résultats de l’enseignement scolaire”, en se prononçant notamment “sur les méthodologies et les outils des évaluations conduites par le ministère chargé de l’éducation nationale”.
Pour aller plus loin:
- Le décret instituant le CNESCO au JO
- L’arrêté portant nomination des membres du CNESCO
- L’article de l’Etudiant.fr avec plusieurs liens intéressants (un court article de la Croix, un interview par le café pédagogique, une chronique chronique d’Emmanuel Davidenkoff sur France Info : “Un nouveau scanner pour l’école”)
- une mise en perspective par le blog engagé “les déchiffreurs de l’éducation“
Lisez la chronique d’E. Davidenkoff pour trouver la réponse à sa question finale:
Ce nouveau conseil devra donc établir des consensus. Mais qu’est-ce qui garantit que ces consensus feront l’objet de décisions politiques ?