En tout cas, le sujet n’est plus tabou au sommet du Ministère de l’éducation nationale. Gageons que l’évaluation des élèves ne changera pas demain, mais l’ouverture par les autorités de la boite de pandore de la notation promet de vifs débats dans cette grande maison (rappelons que le Ministère de l’éducation emploi environ 1 million de personnes, soit près de 4% de la population action à lui tout seul).
bref, voici l’article du Figaro.fr: Les notes dans le collimateur de l’Éducation nationale
Selon cette théorie de la «constante macabre», les professeurs répartiraient, inconsciemment, les élèves en trois tiers: les bons, les moyens et les mauvais. «Imaginons une classe excellente, avec un professeur excellent, explique André Antibi. Si, dans un tel contexte, toutes les notes sont bonnes, il est suspecté de laxisme. Il lui faut donc toujours une part d’élèves en échec»,