…à mois qu’elle n’ait déjà débuté.
Scène en deux actes : d’abord la Cour des Comptes, ensuite un très intéressant article du CGSP
…à mois qu’elle n’ait déjà débuté.
Scène en deux actes : d’abord la Cour des Comptes, ensuite un très intéressant article du CGSP
A lire sur le blog EducPros de Romain Pierronet
l’analyse détaillée et prenant du recul sur plusieurs années pour montrer comment l’AERES a évolué d’une évaluation technicienne à une évaluation plus compréhensive (aux sens français et anglais du mot).
Voir aussi la très ironique vidéo de vœux de la HCERES, qui enterre littéralement l’AERES en 2014 !
l’évaluation relève de la rationalité des preuves mais également de la dialectique du débat social : à ces deux niveaux elle devrait, à terme, contribuer au bien commun
TROSA, S., in Evaluer les politiques publiques pour améliorer l’action publique – une perspective internationale, IGPDE, ouvrage issu des 7ème rencontres de la gestion publique en Juin 2008, Comité pour l’histoire économique et financière de la France éditions, 2009, p. 17
Chers lecteurs anglophones, vous avez probablement déjà entendu parler du principe «d’evidence-based policy », que l’on pourrait traduire par « politiques basées sur des preuves ».
Il n’y a pas de débat là-dessus, l’évaluation doit contribuer à faire reculer « l’obscurantisme politique », à partir d’observations rigoureuses et non plus à partir d’intuitions ou de préjugés politiques.
Un récent livre de Martyn Hammersley lu par Jennifer Miller vient chatouiller le consensus pour l’evidence-based policy. (merci à @Renaudepstein pour l’avoir signalé à la vigie !)
Ci-dessous une proposition de lecture de la note de J. Miller, mais les lecteurs anglophones auront avantage à aller directement à la source sur le blog de la LSE: Book Review: The Myth of Research-Based Policy and Practice | LSE Review of Books
Un récent article “Diaboliser l’évaluation : une posture contreproductive” est publié par Mediapart sur son espace de blog*. Il se propose de vient faire le point sur la “critique de l’évaluation”, à propos de l’ouvrage “La tyrannie de l’évaluation” d’Angélique del Rey (déjà présenté ici). Continuer la lecture
“Un vent de modernisation a soufflé sur nos sociétés, véhiculant un puissant pollen qui a pour nom : l’évaluation”
C’est un dossier de 5 pleines pages que nous offre Télérama, à lire sans faute parce que : Continuer la lecture
Les actes du colloque sont publiés, dans le bulletin n°40 de l’ASES – Association des sociologues enseignant-e-s du supérieur sous le titre ” Lost in evaluation. Continuer la lecture
Livre dont on pourra se faire une première idée à la lecture de l’interview rapportée par liberation.fr « L’évaluation, une obsession »
L’évaluation fait une promesse aux gens. Dans des organisations du travail toujours plus floues, flexibles et polyvalentes, elle semble donner des repères, un cadre temporel, elle fixe des objectifs. Continuer la lecture
Quand « évaluation de dispositifs d’insertion » vaut « évaluation du travail de chargés d’insertion ».
Une mesure du travail en creux
Cédric Frétigné
L’article détaille les méthodes d’évaluation des projets soutenus par le FEJ, et déplore que le travail des acteurs reste une “boite noire”, un “impensé” pour les évaluateurs. Continuer la lecture
Faut-il avoir peur de l’évaluation ?
Charles Hadji, Éditions de Boeck, 2012
C’est le livre du mois présenté par les cahiers pédagogiques, qui ont font une présentation fort attrayante.
Morceaux choisis : Continuer la lecture